Fin mars, l’équipe de Didier Raoult rendait publique une étude sur un traitement à l’hydroxychloroquine et l’azithromycine pour les patients atteints de Covid-19. Présentée comme une simple analyse de données de soin, elle semble pourtant relever d’une «recherche impliquant la personne humaine» (RIPH) nécessitant l’autorisation d’un comité d’éthique indépendant.